La situation sécuritaire précaire dans la ville de Kisangani, les incidents qui y découlent et comment y remédier, ont été au centre de cette causerie, à la poste de Kisangani.
Les éléments de la police ont été appelés à bannir les mauvaises pratiques, notamment la tracasserie souvent décriées par la population pendant les patrouilles.
Il a également déploré l'utilisation par certains commandants des non policiers (qui ne sont pas reconnus par l'état), qui sont réputés dans ces mauvaises pratiques décriées par la population.
Les commandants des différents commissariats ont été conviés, à cet effet, à ne pas utiliser des non policiers pendant les patrouilles.
Ce qui constitue une infraction passible des sanctions d'après les textes légaux et réglementaires, a-t-il prévenu, avant de promettre un contrôle des tous les éléments de police dans les commissariats.
A la population et taxi-motards, le général François Kabeya Makosa a recommandé la collaboration et la dénonciation à la police de toutes personnes jugées suspectes dans la communauté.
Plusieurs mesures pour limiter les cas des vols à mains armées nocturnes et le banditisme urbain, ont été prises.
Il s'agit notamment de l'interdiction de circulation de tout motard au-delà de minuit et la cessation de tapage nocturne par les débits des boissons à ces mêmes heures.
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